Quelques témoignages

"'On semble justifier ce projet par le social, en jouant en outre sur la peur du manque de place dans les maisons de repos,  alors qu'il s'agit avant tout d'un projet financier, lucratif... ."

"Les nuisances sonores et de pollution augmentées par les camions d’approvisionnement pour les magasins Dema et Action, ainsi que le projet immobilier, dégradent significativement la qualité de vie dans notre quartier. La circulation et les nuisances associées doivent être prises en compte."

"La disproportion du projet n'est nullement modifiée dans les nouveaux plans, et reste clairement inadaptée à un quartier résidentiel. La hauteur des bâtiments et leur nombre est excessif. De plus, la pollution visuelle et sonore due aux éclairages nocturnes et aux systèmes de ventilation installés du côté des Alisiers augmentera. Sans oublier l'augmentation du trafic et l'usage fréquent des ambulances, ce qui ajoutera une animation supplémentaire indésirable dans notre quartier."

"La hauteur des bâtiments va indéniablement nuire au cadre agréable de notre quartier et à l’intimité des propriétaires. La présence des bâtiments influencera la valeur des biens et rendra les candidats-propriétaires hésitants à investir dans notre quartier. De plus, il sera impossible de profiter de notre jardin sans être épié par les résidents des bâtiments, entraînant des complications morales pour les habitants."

"Le projet d’un promoteur immobilier est la création d’une maison de repos de 120 lits, Je pense tout d’abord que ce projet est trop vaste pour se situer au cœur d’un village aux rues étroites. Le trafic qu’il engendrera provoquera inévitablement des nuisances sonores permanentes sous nos fenêtres."

"La hauteur des murs et des terrasses du complexe sont orientés vers mon jardin, ce qui va avoir un fameux impact sur le respect de ma vie privée lorsque je serais dans celui-ci. Les cuisines sont orientées à l’arrière de ma propriété, les odeurs de cuisson des différents plats pour autant de personnes vont nuire à ma vie alors que nous avons actuellement l’odeur de la nature."